
Un destin qui ne s’explique pas. Il s’écoute.
“Je n’ai pas choisi ce chemin.
Il m’a été transmis.”
Certaines trajectoires sont le fruit d’un héritage visible.
D’autres, comme celle de Nathaniel, relèvent d’une évidence intérieure — ancienne, irréfutable, et transmise sans mots.

Port-au-Prince, 1973. La première initiation.
Nathaniel a cinq ans lorsqu’il quitte la France pour s’installer en Haïti.
Son père est alors diplomate. Il ignore que cette mission professionnelle va sceller à jamais le chemin spirituel de son fils.Sa nourrice, affectueuse et silencieuse, s’appelait Maïna. Aux yeux de tous, elle n’était qu’une nanny.
Mais chaque nuit, elle devenait une Mambo redoutée de Port-au-Prince. Héritière d’une lignée vaudou séculaire, elle officiait dans l’ombre, et emmenait l’enfant, sans bruit, aux frontières du visible.
“Elle ne m’a jamais enseigné. Elle m’a ouvert.”
Le rêve des hommes aux yeux rouges
À l’âge de neuf ans, Nathaniel fait un rêve qui bouleverse sa vie. Il se voit assis à une grande table ronde, entouré de vieillards aux cheveux blancs, à la barbe immobile, aux yeux rouges perçants.
Ils ne parlent pas. Ils savent. L’un d’eux lève la main et dans un silence irréel, on lui présente de petits os humains. L'un des vieux hommes lui dit :
"Ils te permettront de voir l’avenir, et de le modifier — si cela t’est permis."
Ce rêve ne le quitte jamais.
La révélation des ossements
Des années plus tard, au cours d’une immersion en Scandinavie, Nathaniel découvre que les premières runes, bien avant d’être gravées sur la pierre, étaient taillées dans des ossements humains.
Ce jour-là, tout devient clair.
Les os humains du rêve, les transmissions de Maïna, les silences des vieillards :
Il ne s’agissait pas d’un hasard. Il s’agissait d’une désignation.
Le silence avant l’Œuvre
Pendant des années, Nathaniel garde tout pour lui.
Il observe, lit, étudie, écoute — mais refuse d’agir pour les autres. Il ne veut pas devenir “un de plus”. Il ne veut pas être “vu”.Mais l’invisible frappe toujours plus fort. Des inconnus viennent à lui. Des lettres arrivent sans explication. Des rêves parlent en son nom.
C’est aussi durant cette période qu’il est initié à la Franc-maçonnerie, où il accède à l’un des degrés les plus élevés, en parfaite cohérence avec ce qu’il avait toujours ressenti : l’existence d’un langage symbolique supérieur, codé dans les énergies, les chiffres, les alignements.
Nathaniel développe également une maîtrise rare de la Kabbale, dont il déchiffre non seulement la structure mystique mais l’impact vibratoire réel.
L’ouverture du cabinet
En 1995, il ouvre son cabinet.
Sans enseigne. Sans publicité. Sans carte de visite. Et pourtant, les noms commencent à circuler. Discrètement.
Des artistes. Des avocats. Des femmes en poste. Des hommes en rupture. On dit de lui qu’il ne consulte pas. Il choisit.
Il ne reçoit pas les demandes. Il ressent les appels.
Aujourd’hui
À 55 ans, Nathaniel ne cherche ni reconnaissance publique, ni disciples.
Ce qu’il fait ne s’affiche pas.
Il œuvre — ou il refuse.Chaque action, chaque transmission, chaque lien qu’il restaure est le fruit d’un discernement.
Il ne “pratique” pas. Il intervient, dans les zones où le visible a échoué."Je ne suis pas un voyant.
Je suis un initié. Et j’agis pour ceux qui sont prêts."
Nathaniel
Initié aux sciences occultes, Maître maçon,
Lecteur des chemins vibratoires, Héritier d’une lignée invisible – Depuis 1995.